CARIBBEAN WORLD

| 23.02.11 | 13h19  •  Mis à jour le 23.02.11 | 13h19 N ation métisse par excellence et fière de l'être, le Brésil possède un mélange humain encore plus réussi qu'il ne le pensait. Tel est le principal enseignement de l'étude scientifique coordonnée par le généticien brésilien Sergio Danilo Pena, de l'université du Minas Gerais et publiée dans la revue PLoS ( www.plosgenetics.org ). Cette enquête visait à déchiffrer les traits ancestraux de la population brésilienne à travers l'examen des gènes d'un échantillon d'un millier de personnes. Principale surprise : chez tous les Brésiliens, quelle que soit la couleur de leur peau, prédomine un héritage génétique européen. Il représente, selon les régions du pays, entre 60 % dans le Nord-Est et 77 % dans le Sud des gènes humains. Même les Brésiliens qui se définissent comme "noirs" - l'une des cinq "couleurs ou races" retenues par les statistiques officielles - ont u

By Michael Goldfarb Writer and broadcaster One of the first songs I ever learned, was my home-town university's fight song: "Oh, who owns New York?/ Oh, who owns New York?/ Oh, who owns New York, the people say... Oh, we own New York..." Continue reading the main story “ Start Quote There will probably come a time by the mid-21st Century when Harlem will cease to be majority black” Manning Marable Professor of African-American history, University of Columbia According to the song, the owners were C-O-L-U-M-B-I-A... which once upon a time, before I was born, had a football team that actually won games, and dominated New York intellectual life. The Columbia fight song unintentionally and succinctly asks a profound social question - who owns a city, or a city's neighbourhoods? The simple answer would be those whose names are listed as owners on property deeds, but I'm talking about a more complex concept of ownership. The question came up while i