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Articles

Affichage des articles du 2014

Growing the “Guadeloupe Islands” Brand

Above: Gosier, Guadeloupe (All photos by CJ) By Alexander Britell Despite its proximity to the United States, the French department of Guadeloupe remains under the radar for most American travelers. That’s starting to change, however.In November, Guadeloupe opened a tourist office in Manhattan. But more importantly, in April, the first-ever direct flight from the US will come to Guadeloupe from Miami on American Airlines. And Guadeloupe has been receiving greater international attention as the filming location for the fictional island of Saint-Marie on the hit BBC mystery show “Death in Paradise,” which is now airing in the US as well. Now, Guadeloupe’s tourist board is making what it says is a concerted effort to draw visitors from the US, branding Guadeloupe as the “Guadeloupe Islands,” as it is actually a five-island archipelago. To learn more, Caribbean Journal talked to Sandra Venite, who is leading Guadeloupe’s US push, at the Caribbean Travel Marketplace Conference on Paradi

Halte à l'aliénation mentale des Noirs

African stylies/esthétiques capillaires Au moment où une certaine aliénation culturelle guette nos soeurs, retour historique sur la coiffure dans les sociétés africaines Par Belinda Tshibwabwa Mwa Bay    Coiffure d’une femme peuhle (1903) A l’heure où les Beyoncé Knowles , Christina Millan et Alicia Keys , au teint pâle et aux cheveux lisses sont les icônes incontestées de la beauté noire, à l’heure où l’apologie du métissage nous impose des canons de beauté de plus en plus blancs et de moins en moins noirs, la créativité de l’esthétisme capillaire africain a depuis longtemps cédé sa place aux marchands de cheveux en plastique des quartiers de la Goutte d’Or et de Château d’Eau. Perruques, tissages, mèches, multicolores, synthétiques ou naturels "Made in China" , s’arrache

La Communauté Noire n'existe pas

Je sais que par les temps qui courent, une telle affirmation passe pour une véritable hérésie. Mais avant d’être condamnée au bûcher par l’Inquisition négro-afropolitano-kémite, j’aimerais expliquer pourquoi et comment j’en suis arrivée à commettre un tel sacrilège. Tout a commencé par un sentiment d’indifférence, puis de décalage et enfin de franc agacement face à la déferlante du « Malaise noir » en France. Une vague névrotique déclenchée il y a quelques mois, par la haine inexpliquée d’un Bourguignon à l’encontre de l’innocente tubercule qui donne à mon foufou sa saveur si unique.